Générique
Japon. 2004. Film d'animation. Réalisation et scénario: Mamoru Oshii. Photographie: Miki
Sakuma (Coul.). Musique: Kenji Kawai. 98 min.
Site officiel :
http://www.gofishpictures.com/GITS2/ voici les 2 affiches officielle^^
http://img110.exs.cx/img110/2909/innocenceaffiche19yn.jpg http://img110.exs.cx/img110/9284/laffichecxcinemaghost27mt.jpg Résumé
En l'an 2032, dans une mégapole asiatique, le détective Batou est un cyborg dont le corps synthétique abrite ce qui lui reste d'humanité: son cerveau et le souvenir de son ancienne partenaire, la présumée défunte Kusanagi. Membre d'une escouade spéciale antiterroriste,
Batou fait équipe avec l'humain Togusa pour enquêter sur une série de meurtres commis par des robots d'apparence féminine servant d'esclaves sexuels. Après avoir eu maille à partir avec une bande de yakuzas, un mystérieux pirate du cyberespace et des bureaucrates corrompus, Batou et Togusa découvrent l'emplacement du laboratoire où les poupées-robots sont fabriquées. Sur place, Batou apprend le terrible secret qui se cache derrière ces machines destinées aux plaisirs sexuels de leur maître.
Critique
Les amateurs d'animation japonaise auront dû attendre presque dix ans avant que Mamoru Oshii signe la suite de son film culte GHOST IN THE SHELL. Il faut dire que cette nouvelle oeuvre a exigé un travail considérable sur le plan technique, certaines séquences étant
parmi les plus élaborées jamais vues dans le genre (notamment une stupéfiante parade de chars allégoriques sur le thème des dragons). Il faut dire, aussi, que Oshii ne s'est pas contenté d'un scénario facile. Au contraire, il a concocté une enquête policière emberlificotée, dans la plus pure tradition du film noir, mâtinée de considérations
poético-philosophiques sur les rapports existentiels entre l'humain et la technologie (en particulier les machines créées à l'image des hommes ou des femmes). Comme pour compliquer davantage la donne, le récit se transforme parfois en véritable labyrinthe narratif, le monde réel s'y confondant avec l'univers virtuel du cyberespace. Nul doute que cette
intrigue puisse fasciner bien des spectateurs, mais d'autres risquent d'y perdre leur latin. Quoique parfois lent, au point d'en être lourd, l'ensemble demeure envoûtant et constitue un véritable ravissement du point de vue esthétique, l'auteur sachant harmoniser à merveille des dessins animés traditionnels et des images de synthèse. (Martin Girard)
Mon avis :
alors moi qui l'ai revisionné pleins de fois (et vu que ghost in the shell a toujours été dans mon top 5)
je peux vous dire que le 2 vaut tout a fait le premier volet, si ce n'est que l'histoire est en fait plus tourner sur batu (le college de kuzanagi, qui était donc la principale dans le premier volet) une fin d'un premier volet ou je n'en dirai pas vraiment mot detaillés, afin d'eviter les
spoils, mais qui laissait envisagé, que si il devait y avoir un second volet, celui ci traiterait evidement de la fin du premier, mais il n'en n'est dans un certain sens de rien,
car des petits fait nous le relate en fait par une certaine connotation d'evenements et de paroles, mais l'histoire au proprement dit ne se deroule pas a la suite logique du premier volet,( pupet master)
pour tout amoureux des graphismes somptueux (infographistes ou autres biensur), pour tout amoureux d'effets d'animation siderantes et d'ost rendant ce volet pourtant deja si immersif, par celle ci nous y fesant encore plus plonger au coeur de ce volet (et tout aussi bien placer que dans le premier, lors du déplacement de la foule et de la ville animée),
plus un brin de vocabulaire nanotechnologiques, je ne paux, que vous le conseiller, d'aller
tres vite le louer, et croyez moi, vous ne tarderez pas a la suite a vous le procurer par l'achat definitivement
voici encore 2,3 petites images^^
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